Les chemins de l'école
Une exposition photographique inédite dédiée aux enfants du monde entier
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Djibo, Burkina Faso
Les réfugiés sont souvent contraints d’émigrer vers des pays pauvres où les possibilités de scolarisation sont limitées ou hors de portée. Nafisa Walet Sidi (15 ans) et sa famille ont fui la violence qui régnait dans Tombouctou, leur ville natale, en février 2012. Ils vivent maintenant dans le camp de réfugiés de Mentao, près de la frontière malienne, et c'est là que Nafisa va à l’école primaire. Mais sans doute n’aura-t-elle pas l’opportunité de poursuivre les études auxquelles elle aspire.
Photographe : Holly PICKETT
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Djibo, Burkina Faso
Les réfugiés sont souvent contraints d’émigrer vers des pays pauvres où les possibilités de scolarisation sont limitées ou hors de portée. Nafisa Walet Sidi (15 ans) et sa famille ont fui la violence qui régnait dans Tombouctou, leur ville natale, en février 2012. Ils vivent maintenant dans le camp de réfugiés de Mentao, près de la frontière malienne, et c'est là que Nafisa va à l’école primaire. Mais sans doute n’aura-t-elle pas l’opportunité de poursuivre les études auxquelles elle aspire.
Photographe : Holly PICKETT
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Djibo, Burkina Faso
Les réfugiés sont souvent contraints d’émigrer vers des pays pauvres où les possibilités de scolarisation sont limitées ou hors de portée. Nafisa Walet Sidi (15 ans) et sa famille ont fui la violence qui régnait dans Tombouctou, leur ville natale, en février 2012. Ils vivent maintenant dans le camp de réfugiés de Mentao, près de la frontière malienne, et c'est là que Nafisa va à l’école primaire. Mais sans doute n’aura-t-elle pas l’opportunité de poursuivre les études auxquelles elle aspire.
Photographe : Holly PICKETT
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Djibo, Burkina Faso
Les réfugiés sont souvent contraints d’émigrer vers des pays pauvres où les possibilités de scolarisation sont limitées ou hors de portée. Nafisa Walet Sidi (15 ans) et sa famille ont fui la violence qui régnait dans Tombouctou, leur ville natale, en février 2012. Ils vivent maintenant dans le camp de réfugiés de Mentao, près de la frontière malienne, et c'est là que Nafisa va à l’école primaire. Mais sans doute n’aura-t-elle pas l’opportunité de poursuivre les études auxquelles elle aspire.
Photographe : Holly PICKETT
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Djibo, Burkina Faso
Les réfugiés sont souvent contraints d’émigrer vers des pays pauvres où les possibilités de scolarisation sont limitées ou hors de portée. Nafisa Walet Sidi (15 ans) et sa famille ont fui la violence qui régnait dans Tombouctou, leur ville natale, en février 2012. Ils vivent maintenant dans le camp de réfugiés de Mentao, près de la frontière malienne, et c'est là que Nafisa va à l’école primaire. Mais sans doute n’aura-t-elle pas l’opportunité de poursuivre les études auxquelles elle aspire.
Photographe : Holly PICKETT
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Djibo, Burkina Faso
Les réfugiés sont souvent contraints d’émigrer vers des pays pauvres où les possibilités de scolarisation sont limitées ou hors de portée. Nafisa Walet Sidi (15 ans) et sa famille ont fui la violence qui régnait dans Tombouctou, leur ville natale, en février 2012. Ils vivent maintenant dans le camp de réfugiés de Mentao, près de la frontière malienne, et c'est là que Nafisa va à l’école primaire. Mais sans doute n’aura-t-elle pas l’opportunité de poursuivre les études auxquelles elle aspire.
Photographe : Holly PICKETT
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Djibo, Burkina Faso
Les réfugiés sont souvent contraints d’émigrer vers des pays pauvres où les possibilités de scolarisation sont limitées ou hors de portée. Nafisa Walet Sidi (15 ans) et sa famille ont fui la violence qui régnait dans Tombouctou, leur ville natale, en février 2012. Ils vivent maintenant dans le camp de réfugiés de Mentao, près de la frontière malienne, et c'est là que Nafisa va à l’école primaire. Mais sans doute n’aura-t-elle pas l’opportunité de poursuivre les études auxquelles elle aspire.
Photographe : Holly PICKETT
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Djibo, Burkina Faso
Les réfugiés sont souvent contraints d’émigrer vers des pays pauvres où les possibilités de scolarisation sont limitées ou hors de portée. Nafisa Walet Sidi (15 ans) et sa famille ont fui la violence qui régnait dans Tombouctou, leur ville natale, en février 2012. Ils vivent maintenant dans le camp de réfugiés de Mentao, près de la frontière malienne, et c'est là que Nafisa va à l’école primaire. Mais sans doute n’aura-t-elle pas l’opportunité de poursuivre les études auxquelles elle aspire.
Photographe : Holly PICKETT
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Djibo, Burkina Faso
Les réfugiés sont souvent contraints d’émigrer vers des pays pauvres où les possibilités de scolarisation sont limitées ou hors de portée. Nafisa Walet Sidi (15 ans) et sa famille ont fui la violence qui régnait dans Tombouctou, leur ville natale, en février 2012. Ils vivent maintenant dans le camp de réfugiés de Mentao, près de la frontière malienne, et c'est là que Nafisa va à l’école primaire. Mais sans doute n’aura-t-elle pas l’opportunité de poursuivre les études auxquelles elle aspire.
Photographe : Holly PICKETT